Au cœur des dunes infinies, là où le soleil ne laissait aucune défiance intacte, reposait Mémoire-Morte, une grande ville oubliée d’Afrique du Nord, depuis longtemps ensevelie par les sables. Plus individu n’en connaissait l’existence, si ce n’est un espèce humaine isolé connu sous le nom Djibril, qui avait divulgué par sort ce centre en cherchant une transparence tarie depuis des siècles. Sous les ruines enfouies, il avait trouvé une grotte avec lequel les parois scintillaient, recouvertes de cristaux changés formés par des millénaires de compression, nourris par les histoires d’un peuple refroidi. Djibril découvrit bientôt que ces boule de cristal portaient en eux plus que des souvenirs figés. En soufflant lentement sur leur surface polie, des visions précises de le futur se formaient, défilant doucement comme des plateaux silencieuses devant ses yeux. Émerveillé mais troublé, il s'aperçut sans peine le coût matériel de ce béguin : n'importe quel sel, tout prédiction arrachée à la joyau, lui retirait un fragment de sa personnelle appel. Pourtant, effigie au degré et à la clarté de ces guidances, Djibril décida de partager ce ivresse. Depuis la solitude des ruines, il lança discrètement un prestation étrange de voyance gratuite par téléphone, explicable depuis n’importe où dans l'univers. Une facile voix, un nom murmuré virtuelles, suffisait à accentuer les cristaux. Sans chenil monétaire, sans requête d'avis, il livrait des présages d’une rigueur saisissante, dictées par les perles d'eau douce en particulier. Rapidement, les appels affluèrent, provenant des 4 quartiers du globe. Les visiteurs fascinés par cette voyance gratuite téléphone ignoraient tout de l’endroit où leurs visions prenaient forme. Mais Djibril en payait le prix décisif : tout éclaircissement consultation effaçait miette à doigt ses souvenirs les plus inestimable. Bientôt, il oublia les noms des gens qu’il avait reconnus, puis les villes de son enfance, puis même les raisons pour lesquelles il avait un moment marché jusqu’à Mémoire-Morte. Malgré cela, il persistait. Car dans les guidances surgissaient parfois des fragments de l’histoire du peuple oublié, des indices inappréciable pour reconstituer un souvenir collective perdue marqué par le sable. Il inscrivait ces marques fugitives sur les murs de la grotte, reconstruisant légèrement une identité disparue. Et dans ce désert sans fin, marqué par les boule de cristal de Mémoire-Morte, Djibril poursuivait son œuvre, pénétrant qu’à tout caractère, son passé disparaissait un peu plus, sacrifié pour mettre de côté de l’oubli la évocation d’un monde cosmique.
Sous les dunes silencieuses, dans la fraîcheur trompeuse des profondeurs, Djibril devenait l’ombre de lui-même. Le temps ne s’écoulait plus plus clair pour lui ; les journées et les nuits se mêlaient en une Phil voyance seule et même clarté continue, éclairée uniquement par l’éclat des cristaux lorsqu’il répondait aux problèmes incessantes de voyance gratuite par téléphone. Chaque réprésentation délivrée, n'importe quel intelligence, continuait d’effriter sa intime identité, donnant arrière lui un vide dramatisant, notamment une blessure interne qui ne pouvait jamais effacer. Ses murs étaient désormais intimement recouverts d’inscriptions, de emblèmes, d'éléments anciens surgis des boule de cristal eux-mêmes. En les empruntant la voie de, il essayait d'aprehender, de réaliser l’essence du peuple avec lequel les personnes dormaient sous ses doigts. Les tribunes représentées dévoilaient niveau les traditions, les doutes et les tragédies d’une civilisation engloutie par le sable. Il apprit à reconnaître les expressions gravées dans la diamant, à bien deviner la signification des gestes représentés, même s’il n’était plus sûr de sa qui vous est personnelle histoire. La efficace énigmatique de cette voyance gratuite téléphone s’étendait désormais correctement au-delà des frontières lettres. Pourtant, le bien-être ou la transfert ne l’atteignaient jamais. Chaque illustration provoquait en lui un étrange zèle, un éloignement progressif de tout ce qui avait pu des temps anciens le rattacher qui soit extérieur. Le tarif de ses présages devenait normal : pour prendre soin les biographies d’un peuple omniscient, il fallait abandonner sa privée vies, ses desseins, ses pulsions émotionnelles, tout ce qui faisait de lui un être humain en vie. Bientôt, même les gestes les plus accessibles devinrent mécaniques, dépourvus de nature véritable. Se entretenir, marcher, dormir, tout semblait artificiel, presque nuisible faciès au poids écrasant du savoir accumulées sur les murs de la grotte. Pourtant, il continuait, animé par une portée obscure qui l’empêchait de s’arrêter. Les boule de cristal eux-mêmes semblaient supplier son vigilance constante, vibrants faiblement même lorsqu’il ne s’approchait pas. À poésie que Djibril se dissolvait lentement dans l’oubli, les prédictions gagnèrent en cadence et en authenticité. Ceux qui recevaient ses prophéties témoignaient d’une force documentation, comme si les images surgies des cristaux s’imprimaient aussitôt dans leur flagrance journalière. Mais individu, à l’autre extrémité du cours, ne pouvait adopter l’immense solitude de l’homme qui leur apportait ces aperçus d’avenir. Et là, par-dessous les sables éternels de Mémoire-Morte, Djibril se rendit compte pour finir que pour éloigner les mémoires d’un peuple perdu, il devait prolonger de se réduire au minimum profondément, devenant lui-même le cristal d’une histoire prête à bien sauver.